L’aventure commence dès lors qu'on accepte de sortir de sa zone de confort...

Le lac Tekapo en Nouvelle-Zélande

Le lac Tekapo en Nouvelle-Zélande

vendredi 12 août 2016

Brésil

  • Mes impressions de voyage
  • Mes plus jolies photos du Brésil
  • Mes petites vidéos du Brésil
  • Mes impressions de voyage
     
    Mon parcours dans ce pays
    Après avoir traversé la Russie, exploré l’Asie et l’Inde, parcouru la Nouvelle-Zélande, les USA, le Canada, Cuba, le Mexique, le Guatemala et la Colombie, j’ai passé 8 semaines au Brésil (5 semaines et demi durant l'été brésilien et 2 semaines et demi durant l'hiver brésilien), surtout dans la moitié sud de cet immense pays.

    Mes étapes ont été les suivantes lors de mon premier séjour (du 27 janvier au 6 mars 2016) :
    - Tabatinga : petite ville frontalière avec la ville de Leticia en Colombie d'où j'ai pris un bateau pour descendre le fleuve Amazone et atteindre Manaus en 3 jours et 3 nuits.
    - Manaus : capitale de la région Amazonie du Brésil où j’ai profité d’une soirée carnaval très festive en compagnie des touristes rencontrés sur le bateau, et le lendemain ce fut soirée samba dans une école de danse de samba...
    - Rio de Janeiro, où je suis resté 10 jours pour notamment profiter du carnaval : je suis allé un soir assister à un défilé des meilleures écoles de samba au Sambodrome, mais surtout j’ai activement participé au carnaval de rue en allant écouter plusieurs « blocos » (et danser quelques pas de samba) ;  les blocos sont des groupes de musiciens de samba qui attirent des milliers de personnes.
    - Parc National Itatiaia : petit massif montagneux situé entre Rio et São Paolo où j'ai fait une très belle randonnée et fêté mon anniversaire en dégustant un délicieux gâteau au chocolat fait maison par la patronne de l'hôtel !
    - Ilha Grande : peut-être l'île préférée des brésiliens (facilement accessible depuis Rio ou São Paolo), les voitures y sont interdites, les plages sont superbes (les plus belles de toutes celles que j’ai vues au Brésil), et on peut facilement se promener dans la forêt vierge et aller se baigner dans de jolies cascades.
    - Paraty : cité balnéaire très appréciée des brésiliens avec un centre-ville historique d’architecture coloniale avec des rues pavées, et avec également de très belles plages dans les environs (facilement accessibles en bus) ; en particulier, le petit village voisin de Trindade est très joli et entouré de très belles plages.
    - São Paulo : 11 millions d'habitants, terre d'immigration japonaise et italienne, capitale économique, gastronomique (testé et approuvé !) et culturelle du Brésil (entre autres : très beaux musées et superbes églises, sans oublier un magnifique musée du football que je recommande à tous les amateurs de ce sport !)
    - Curitiba : jolie ville qui abrite notamment un musée du célèbre architecte brésilien Oscar Niemeyer, et d'où l'on peut faire un très beau trajet touristique dans un vieux train très lent (le Serra Verde Express) à travers la jungle et les montagnes jusqu'à la petite ville de Morretes (d’où l’on peut rejoindre en bus la côte atlantique et l’ile au Miel en particulier).
    - Florianopolis : grande cité balnéaire du sud Brésil qui abrite parmi les plus belles plages du pays et permet quelques très jolies randos en bord de mer avec une alternance de collines, de plages sauvages et de petits ports de pêche ; j’ai beaucoup aimé cet endroit.
    - Foz do Iguaçu : une des deux villes (avec Puerto Iguazu en Argentine) d'où l'on peut admirer ce que beaucoup considèrent comme les plus belles chutes d'eau du monde... Je confirme : les chutes d’Iguaçu (qui s’écrit avec un ç en portugais et un z en espagnol) sont encore plus belles et plus spectaculaires que les chutes d’eau d’Islande qui pourtant m’avaient déjà coupé le souffle !!! Il faut savoir que les chutes d'Iguaçu regroupent plus de 275 cascades qui se jettent d'une hauteur pouvant atteindre 80 m. Elles s'étendent sur près de 3 km.

    Mes étapes ont été les suivantes lors de mon second séjour (du 21 juillet au 7 août 2016) :
    - São Paulo : je suis resté 2 semaines dans cette ville que je connaissais déjà un peu et dans laquelle j'ai bénéficié de 2 hébergements successifs chez l'habitant ce qui m'a permis de mieux m'imprégner de la vie au quotidien dans cette mégapole de 11 millions d'habitants ; j'ai bien apprécié les vues panoramiques sur la ville depuis le sommet de la tour Edificio Copan (gratuit, entrées uniquement à 10h30 et 15h30) et depuis le sommet de la tour Edificio Martinelli (gratuit, entrées de 9h30 à 11h30 et de 14h00 à 16h00) ; lors de ce second séjour au Brésil, je ne voyageais quasiment plus en mode "touriste" car j'avais beaucoup de retard à rattraper pour la mise à jour de mon blog, j'avais plein de choses à préparer pour mon retour en France, sans compter que je devais me chercher un poste pour travailler en France au 1er septembre...
    - Boiçucanga (São Sebastião) : jolie petite station balnéaire sur la côte atlantique à 2h30 de São Paulo, avec une très jolie plage entourée de collines couvertes de forêt tropicale... Je ne pouvais pas quitter le Brésil sans profiter une dernière fois de ce qui fait tout le charme de ce pays, ses plages plus belles les unes que les autres... Cela fait très cliché, mais la plage est une réalité incontournable de la vie sociale au Brésil, au même titre que le football ou la religion...

    J'ai mis à jour mon itinéraire sur ma Google Maps qui permet de voir le détail des étapes de mon tour du monde : cliquer sur + et - pour ajuster le zoom, et cliquer sur chaque point pour afficher le nom du lieu.


    Quand j'y suis allé
    J’ai séjourné au Brésil à deux reprises :
    - 5 semaines et demi, du 27 janvier au 6 mars 2016, donc essentiellement durant la haute saison touristique. Avantage : c’est la saison des vacances des brésiliens (et de leurs voisins argentins qui viennent en nombre profiter des superbes plages) et c’est aussi la saison des carnavals donc l’ambiance générale est joyeuse et festive, bref excellente. Inconvénients : il fait très chaud (c’est l’été dans l’hémisphère sud), les hébergements sont plus chers et les bus parfois complets si on s’y prend à la dernière minute.
    - 2 semaines et demi, du 21 juillet au 7 août, donc pendant l'hiver brésilien (il fait vraiment froid dans la moitié sud du pays, mais les températures restent au dessus de zéro, il ne faut quand même pas exagérer !)

    La météo que j'ai eu
    Lors de mon premier séjour (été brésilien) : très bonne dans l’ensemble, un temps estival avec un soleil qui tapait souvent très fort en milieu de journée (du coup la plage c’était soit tôt le matin soit en fin d’après-midi) et très peu d’épisodes pluvieux.
    Lors de mon second séjour (hiver brésilien) : bonne dans l'ensemble, un temps ensoleillé mais pas trop chaud (un peu comme le printemps en France).

    Mes coups de coeur
    J’ai bien aimé le carnaval de rue de Rio avec son atmosphère très festive. Le carnaval « officiel » (défilé dans le Sambodromo) un peu moins (trop formaté, et j’étais placé loin des chars et des danseurs donc difficile d’apprécier la gestuelle de la samba). J’ai bien aimé les plages d’Isla Grande et celles de Florianopolis. J’ai beaucoup aimé les chutes d’Iguaçu (une vraie merveille de la nature). La gentillesse et l'hospitalité des brésiliens m’ont beaucoup touché également : c'est un peuple vraiment très chaleureux. Dire que j'ai failli supprimer le Brésil de mon itinéraire de tour du monde ! (à cause du coût du voyage dans ce pays et à cause du temps nécessaire pour découvrir cet immense pays) J'ai été bien inspiré de persévérer dans mon idée de départ ! (j'ai cependant supprimé certaines étapes afin de simplifier un peu ce voyage)

    La descente de l’Amazone en bateau pour aller de Colombie au Brésil
    J’avais deux possibilités pour rejoindre le Brésil depuis la Colombie : soit prendre un vol Bogota – Rio de Janeiro (assez cher), soit prendre un vol Bogota – Leticia (petite ville située à l’extrême sud de l’Amazonie colombienne) puis un bateau Tabatinga – Manaus puis un vol Manaus – Rio de Janeiro. Sur les conseils d’un ami, et après avoir lu des récits sur plusieurs blogs de voyageurs, j’ai choisi la seconde option, et je ne le regrette absolument pas, bien au contraire ! D’une part cela m’a permis d’économiser une cinquantaine d’euros par rapport à un trajet effectué 100% en avion, d’autre part cela m’a permis de découvrir l’Amazonie colombienne depuis le charmant village de Puerto Narino, avec observation de dauphins roses nageant dans l’Amazonie et randonnée de nuit dans la jungle pour observer toutes sortes de bestioles notamment de terrifiantes araignées… A Leticia j’ai fait une heure de shopping pour m’acheter (pour pas cher) un hamac de taille suffisante en longueur et en largeur (en effet, pour dormir à peu près à plat, il faut pouvoir se mettre légèrement en travers du hamac) ainsi que les cordes pour l’attacher. Ensuite j’ai pris un taxi pour effectuer rapidement les formalités douanières (un coup de tampon à l’aéroport de Leticia et un autre à la préfecture de Tabatinga) puis pour relier l’embarcadère de Tabatinga où m’attendait un gros ferry (600 personnes dont seulement 10 touristes ! ambiance très locale donc…) pour descendre le fleuve Amazone durant 3 jours et 3 nuits et en dormant sur des hamacs... Au final, ce fut une expérience très intéressante (bien que les paysages depuis le bateau soient un peu monotones… monotones comme le furent les paysages de la Sibérie à bord du transsibérien), un long trajet qui m’a permis de rencontrer quelques touristes français très sympathiques avec qui j’ai d’ailleurs voyagé quelques jours de plus… et tout ça pour un prix imbattable : 200 Reals (50 euros) nourri-logé-transporté en bateau pendant 3 jours ! Qui dit mieux ?...

    Le carnaval de Rio
    Le carnaval de Rio n'était pas prévu dans mon tour du monde, c'est un concours de circonstances qui a fait que je me suis trouvé à Rio au moment de cet événement (notamment le fait que je sois resté plus longtemps que prévu en Colombie), mais je ne regrette pas de l'avoir vécu ! Le carnaval de Rio est plus populaire et sympa dans les quartiers (le « carnaval de rue ») que les défilés officiels du Sambodrome qui sont très formatés et très chers surtout si on veut une place près des chars et des danseurs de samba. Voici 2 petites vidéos de mon bloco préféré "Simpatia é quase amor" (bloco est le nom donné pour désigner un groupe musical de carnaval de rue) : d'abord les percussions et la samba puis c'est une marée humaine de plusieurs dizaines de milliers de personnes qui dansent en suivant le cortège au bord de la plage d'Ipanema... Un truc à vivre...


    Le Brésil, un pays en crise...
    Le Brésil en ce moment (fin 2015 / fin 2016) traverse à la fois une crise politique (corruption), une crise économique (récession), une crise environnementale (la catastrophe écologique du barrage qui a explosé en novembre 2015), une crise footballistique (défaites lors de la coupe du monde de 2014 puis lors de la Copa America 2015), des Jeux Olympiques qui vont coûter une fortune et plomber encore un peu plus le budget des écoles et des hôpitaux et, cerise sur le gâteau (si on peut dire...), une crise sanitaire (le virus Zica). Bref, tout va bien...
    Catastrophe écologique au Brésil après une coulée de boue toxique
    Début novembre 2015 est survenu un évènement tragique : un barrage qui retenait des déchets miniers a sauté dans l’Etat du Minas Gerais, répandant l'équivalent de 20 000 piscines olympique de boue toxique dans le 5ème fleuve du pays : le Rio Doce. Cette vague de boue, en plus d'avoir fait 13 morts sur son passage, a privé 280 000 personnes d'eau potable et le fleuve est maintenant considéré comme mort par les scientifiques. Après avoir tué toute la faune sur son passage, la boue toxique a atteint l'océan Atlantique, 650 km plus loin. Cette catastrophe écologique est déjà considérée comme la plus importante de l'histoire du Brésil. Des négligences humaines au niveau des contrôles de sécurité du barrage sont à l’origine de cette catastrophe.

    Le Brésil, un pays isolé au sein de l'Amérique latine
    J'ai été quelque peu surpris, en discutant avec des brésiliens, de constater que le Brésil entretient assez peu de relations avec les autres pays d'Amérique latine, sauf durant les compétitions de football et pour faire un peu de business. Pour ce qui concerne la culture et le tourisme notamment, les brésiliens sont beaucoup plus intéressés par les USA et par l'Europe. Par exemple, les brésiliens ignorent complètement les musiques latino de langue espagnole qui pourtant cartonnent sur tout le reste du continent (salsa, bachata...), au Brésil on écoute soit de la musique brésilienne soit de la musique internationale en langue anglaise. Cet isolement au sein de l'Amérique latine s'explique en partie par le fait que le Brésil parle portugais alors que les autres pays sont de langue espagnole, et en partie parce que les autres pays d'Amérique latine ne font pas rêver les brésiliens (car ce ne sont pas des pays riches). Tout de même, cet isolement est un peu surprenant, et... attristant.

    Ce que j'ai moins aimé
    Ce pays est moins dépaysant (pour un européen) que la Colombie ou le Mexique. Cela m’a empêché de ressentir un gros coup de cœur pour le Brésil. Donc je pourrais dire que j’ai moins aimé son côté très « européen » (surtout au fur et à mesure qu’on s’approche du sud du pays : il y a même des villages peuplés en majorité d’immigrés allemands qui organisent chaque année la fête de la bière !).

    Ce que j'ai mangé
    La nourriture au Brésil est assez proche de la nourriture colombienne mais avec des influences portugaises (colonisation oblige), italiennes et japonaises (à cause de la forte immigration en provenance de ces deux pays). Les amateurs de pizzas et de sushis seront donc comblés, en particulier à Sao Paulo, capitale gastronomique du Brésil. On  trouve aussi de temps en temps des boulangeries françaises (par exemple celle de Copacabana qui est très connue), et on peut déguster de délicieux ceviche péruviens (mon nouveau péché mignon…).
    Au Brésil on peut manger équilibré en allant dans des resto au kilo : ce sont des self-service où on paie au poids avec un choix élargi de plats. Sinon, on sert à tous les coins de rue de délicieux jus à partir de fruits que l’on choisit à l'étalage. Le Brésil est un pays où on mange bien et beaucoup, d’ailleurs l’obésité se développe ici comme presque partout ailleurs dans le monde (le Japon et Cuba faisant exception à cette triste évolution).

    Ce que je n'ai pas eu le temps de faire
    J’ai décidé de faire l’impasse sur le fameux Nordeste (Belem, Sao Luis et son désert du Parc national des Lençóis Maranhenses, Recife, Salvador de Bahia), car cela m’aurait obligé à rallonger mon séjour et à prendre d’autres avions internes à cause des très longues distances : compliqué car je ne pouvais pas trop retarder mon arrivée en Patagonie (météo défavorable après mars) et au niveau budget cela coûtait cher de prendre 2 avions supplémentaires. J’ai renoncé aussi à aller visiter l’Etat du Minas Gerais avec ses villes à l’architecture coloniale (notamment Ouro Preto, Tiradentes et Mariana) à cause de la canicule et surtout à cause de la fatigue des longs trajets en bus (depuis Rio cela me faisait remonter vers le nord alors  que mon itinéraire vers l’Argentine me commandait de mettre le cap au sud). Je ne suis pas allé admirer l’architecture futuriste (œuvre du fameux architecte brésilien Oscar Niemeyer) de la capitale Brasilia car là encore cela nécessitait de prendre un avion et cette ville n’était pas une priorité pour moi. Quant au fameux Pantanal, c’est une région très excentrée qui est loin de tout, et y aller et y séjourner coûte très cher.

    Mes conseils aux voyageurs qui souhaitent se rendre dans ce pays
    Le Brésil est un pays immense, imaginez : c’est presque 3 fois plus grand que l’Inde !!! Pour ceux qui connaissent l’Inde, cela donne une idée de l’immensité du pays, sachant qu’une très grande partie est constituée de la forêt amazonienne et est donc quasi inhabitée. Le Brésil possède au nord des frontières avec la Guyane française, le Suriname, le Guyana et le Venezuela, à l’est avec la Colombie, le Pérou, la Bolivie et le Paraguay, et au sud avec l’Argentine et l’Uruguay. Concernant les formalités d'immigration : il n’y a pas d’obligation de visa pour un français pour entrer au Brésil. Le passeport est bien entendu obligatoire.
    Le Brésil est un pays facile à visiter en mode sac à dos (mais assez cher à cause des longues distances qui nécessitent de prendre des avions internes, à moins de se limiter à une petite partie du pays ou d’avoir beaucoup de temps pour faire de très longs trajets en bus). Concernant la sécurité, comme dans toutes les grandes villes d’Amérique latine il faut faire attention et ne pas montrer qu’on possède des objets de valeur quand on marche dans la rue.
    Pour les transports, en haute saison touristique il faut penser à acheter ses billets de bus (et parfois de bateau) au moins un jour à l’avance si on ne veut pas se retrouver coincé (j’ai eu un peu de mal à quitter la station balnéaire de Paraty pour cette raison).
    On trouve des hébergements pour tous les budgets, il y a aussi des auberges de jeunesse avec dortoirs et des pousadas (petits hôtels) qui permettent de se loger à prix raisonnable. Le couchsurfing a moyennement fonctionné pour moi dans ce pays. Attention, en période de carnaval le prix des hébergements à Rio double ou triple…
    Pour téléphoner, on peut acheter pour pas très cher une carte SIM brésilienne prépayée, à condition bien sûr d’avoir un téléphone débloqué.
    Concernant les passages de frontière terrestres depuis / vers la Colombie et l’Argentine : cela se fait très facilement (pour les français en tous cas), un coup de tampon sur le passeport à la douane du pays de sortie, un autre tampon à la douane du pays d’entrée et le tour est joué !

    Le mot de la fin…
    J’ai beaucoup aimé le Brésil, même si ce pays est moins dépaysant pour un européen que le Mexique et la Colombie (je précise que je parle de la partie sud du Brésil (entre Rio et Florianopolis), car je n’avais pas le temps ni le budget avion pour aller visiter le Nordeste ou le Pantanal qui sont certainement des coins plus dépaysants). La partie sud du Brésil est moins dépaysante que le nord car elle est très européanisée au niveau du style de vie.
    Mon seul (petit) problème dans ce pays a été la communication car je ne parle pas portugais, mais ici beaucoup de gens comprennent le "portugnol" (mélange entre portugais et espagnol qui facilite la communication entre argentins, paraguayens et brésiliens)...


    Pour suivre l'actualité du Brésil
    Le Monde
    RFI
    Courrier International


    Quelques sites web ou blogs utiles
    http://www.destinaterre.net/?cat=9
    http://voyagesetvagabondages.com/category/destinations/ameriques/bresil/
    http://naturomonde.top-depart.com/?s=Br%C3%A9sil
    http://voyager-ailleurs.blogspot.com/search/label/Br%C3%A9sil
    Blogs de voyage sur la descente de l'Amazonie en bateau :
    http://americalatina2014.over-blog.com/2014/07/de-tabatinga-bresil-a-manaus-bresil.html
    http://time-off.e-monsite.com/pages/sur-la-route/la-descente-de-l-amazone-du-22-janvier-au-22-fevrier-part-ii.html
    http://flaneries-a-deux.over-blog.com/article-quatre-jours-sur-l-amazone-a-bord-du-navio-sagrado-coracao-de-jesus-98089160.html


    Mes plus jolies photos du Brésil
    (cliquer sur les liens pour accéder aux photos, puis cliquer sur une photo pour l'agrandir)

    São Paulo
    Autres photos du Brésil



    Mes petites vidéos du Brésil
    (cliquer dans le carré en bas à droite pour afficher la vidéo en plein écran)










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